Les 3C se sont lancés dans leur projet avec l'écrivain Patrick Pauget
Patrick Pauget est un auteur, plus précisément un auteur d'uchronie (un sous-genre du roman qui consiste à prendre un événement historique et le modifier afin d'inventer un autre futur). Sa série Germania est un exemple d'uchronie. Ses romans racontent une histoire mais servent aussi à faire passer un message.
Après nous avoir présenté son travail d'écrivain, il nous a expliqué les mécanismes d'une dictature. On a alors compris comment et par quels moyens on peut nous faire basculer dans un régime totalitaire.
Une dictature, c'est un régime où il n'y a qu'un gouvernant, un guide, un dieu, un dictateur. On n'a plus de liberté d'expression, on doit adhérer à ses idées, penser et croire comme le chef. Pour cela, on va éliminer les intellectuels, qui ont du savoir, qui savent réfléchir par eux-mêmes qui vont donc comprendre ce qu'il pourra se passer. On va convaincre les opposants par la force ou la propagande. Et pour finir, on va manipuler la jeunesse qui est facile à convaincre car plus influençable. Le gouvernement va aussi limiter voire supprimer certains apprentissages et utiliser la propagande pour faire passer la dictature comme un modèle qu'il faut suivre et imiter.
E. K.
Rencontre avec l'écrivain Patrick Pauget :
Rencontre surprenante car cet homme a un don, il est rare.
Il peut nous faire prendre conscience de choses en un instant, il a tout compris à la vie. Mais attention, comme il l'a dit : "Ne pas croire la voix la plus forte."
Je n'ai pas grand choses à dire, mais j'ai retenu quelques-une de ses phrases. Je dois dire que Patrick Pauget a retenu mon attention par son discours qui m'a fait comprendre beaucoup de choses :
- "L'esprit critique est le plus important."
- "Aujourd'hui, on est tous manipulés."
- "Les gens sont de gentils petits moutons."
- "La répétition crée la fixation."
- "Ne jamais croire les réseaux."
- "Soyez curieux."
- "Savoir d'où je viens pour savoir où je vais."
- "Avoir des émotions, c'est beau. Si les émotions prennent le dessus sur la pensée, je vous tiens."
M. R.